samedi 28 juin 2014

Disparition de nombreux apprentis étrangers au Japon.

Tiré d’un article du Yomiuri Shimbun.

Venus parfaire leur technique sur l’archipel, des centaines d’apprentis étrangers se seraient évaporés dans la nature. Ce phénomène, déjà signalé par la préfecture, semble se poursuivre cette année encore dans le département d’Ibaraki.

Selon les forces de police, 115 apprentis auraient disparu entre janvier et fin mai, soit 8 de plus par rapport à l’année précédente.

Le département d’Ibaraki accueille environ 10 000 apprentis étrangers. Sur 293 étrangers pour lesquels un avis de recherche a été lancé, 167 étaient chinois, 58 étaient vietnamiens et 23, indonésiens.

L’organisme responsable de l’intégration des apprentis étrangers signale que ce phénomène grandissant peut être constaté à l’échelle nationale. Ainsi, en 2012, 1532 apprentis étaient introuvables.

D’un autre côté, comme les disparitions ne donnent pas toujours lieu à l’émission d’avis de recherche, l’organisme n’est pas en mesure de donner des chiffres précis pour le département. On pense que la Police, mieux renseignée, doit probablement faire face à des chiffres bien plus conséquents que ceux précédemment annoncés.

Le département, plus touché que d’autres par ce phénomène, tente de renforcer son dispositif de contrôle.

 

Commentaires des internautes japonais :

Si on ne parle que d’Ibaraki, je vous laisse imaginer ce qu’il en est dans le reste du pays.

Si on en laisse rentrer 200 000 par an, combien s’évanouissent dans la nature ?

C’est la fin du Japon !

Depuis le départ, ils viennent tous pour espionner le Japon.

Vous avez cherché dans les établissements comme les cabarets, soap, et autres commerces du plaisir ?

Allez savoir. Ils se sont peut-être enfuis ne pouvant plus supporter les heures de travail forcé. Ils sont peut-être morts d’épuisement et ont été enterrés quelque part, ou bien on s’est débarrassé de leur corps.

Ils auraient plus à gagner en faisant un petit job plutôt qu’en travaillant comme apprenti.

Ils ont qu’à être plus sévère dans la sélection des apprentis chinois et limiter leur séjour à un an. Là, on a 90% qui visent des activités criminelles.

Voilà qui entretient le travail illégal.

Il faut interdire le travail des étrangers.

Faut vite intervenir parce qu’en un rien de temps ils vont monter leurs triades ici.

C’était exactement comme ça il y a quelques dizaine d’années. On retrouvait la plupart à bosser dans le quartier des plaisirs.

Par “disparu”, il faut entendre, “toujours sur le sol japonais”. Sans adresse officielle au Japon, on a du mal à imaginer comment ils arrivent à vivre. Ou alors ils seraient morts, mais au vu des chiffres extravagants, ce serait horrible. Ce serait un scandale par rapport aux droits de l’homme.

Tout ça, c’est juste des clandestins.

Y a qu’à les enterrer gratos.

La proportion de Chinois est effectivement impressionnante dans les restaurants.

Et c’est les mêmes zigotos qui nous proposent d’ouvrir nos frontières à l’immigration.

Suffit de licencier ceux qui étaient censés être leur responsable.

Qu’on les déporte dans des camps de travaux forcés.

Vous savez bien qu’au Japon, on ne peut pas travailler sans déclarer une adresse. Vous pensez pas qu’on a pu les faire disparaître après les avoir exploités ? Je pense que si on en parle un jour à l’étranger, ça va prendre des proportions importantes…

Idiot. Travailler sans adresse, ça existe et c’est un délit.

Des dizaines de travailleurs clandestins doivent donner la même adresse, comme font les travailleurs journaliers d’Osaka qui n’ont pas de domicile fixe. Après, on peut imaginer qu’ils ont diverses activités : vol, braquage, travail dans le milieu de la prostitution, fraudes bancaires…

Les Chinois ont un réseau très efficace. Ils prennent en charge les nouveaux arrivants quelque soit leur niveau et leur trouve une activité. On n’a pas de réseau comparable.

Avec cette filière, ils doivent bien se marrer en Chine.

Vous me faites rire. Vous pensez qu’un étranger pourrait endurer un métier que même les Japonais endurants au boulot refusent de faire ??

En fait, ces “disparus” sont des soldats de l’armée populaire de Chine. Au moment opportun, ils réapparaitront et saboteront nos installations. C’est flippant, ils en sont capables.

Y a moyen de bosser illégalement ?

Je sais pas pour les autres départements, mais à Tokyo, pas besoin de CV, de pièces d’identité… on file le loyer à la main, et même pas besoin de compte bancaire…

En y repensant, c’est réellement effrayant. Ceux qui disparaissent dans la nature, deviennent invisibles. Ils n’ont pas d’état civil, peuvent proférer des crimes et délits en toute impunité. Cela pourrait expliquer les nombreux cas non élucidés.

Chaque étranger devrait être lié à un garant japonais, responsable de ses actes et qui assumerait pénalement.

Ouais mais ça fait peur. A chaque étranger qui disparaitrait, on aurait un gérant japonais en moins.

J’imagine bien ces disparus former des associations de malfaiteurs et organiser des actes de rapines.

Soyons réalistes. Ils entrent légalement au Japon avec déjà en tête l’idée de s’évanouir dans la nature, puis de bosser au black. Il ne faut accepter que ceux qui ont un niveau universitaire.

Il leur suffit de faire des gosses au Japon et de les scolariser pour obtenir un visa permanent.

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